Nouvel élément dans l’affaire de la supposée “agression sexuelle” dans Koh Lanta. Candide Renard, a en effet été entendue par la police. Voici sa version des faits.
Candide Renard: le comportement bizarre de son adversaire
Suite à une plainte pour agression sexuelle, Eddy Guyot avait été placé en garde à vue dès sa descente d’avion le lundi 14 mai dernier. Conduit dans les bureaux du SDPJ de Seine-Saint-Denis, l’homme a donné sa version des faits, et été libéré au bout de 4 heures environ de détention. Très discrète depuis le début de cette affaire, Candide Renard, la plaignante ne s’est exprimée publiquement qu’à travers son avocat. Mais grâce à nos confrères de RMC, on a désormais connaissance du contenu de sa déposition. Eddy Guyot aurait donc pris l’habitude de s’allonger parmi les filles pour les “tenir chaud”, le soir au couché. Candide Renard se serait donc réveillé en pleine nuit alors que ce dernier essayait de l’embrasser tout en touchant certaines parties de son corps. Elle aurait ensuite repoussé à plusieurs reprises la main de son assaillant, avant de se retirer de la hutte.
#KohLanta : "Candide Renard refuse toute confrontation ; si on confronte les deux versions, la sienne ne résiste pas à celle d'Eddy", dit Jérémie Assous (avocat d'Eddy G.) #VillageMedias pic.twitter.com/MlK68dYRql
— Village Médias (@VillageMedias) May 16, 2018
Mâitre Jérémie Assous s’en prend à la production
Mais selon les déclarations de Maître Jérémie Assous, cette version ne serait pas celle des cinq autres candidats présents au moment de la supposée agression. A en croire l’avocat d’Eddy Guyot les dépositions de ces témoins seraient en parfaite concordance avec celle de son client. Il a d’ailleurs fustigé sur Europe 1, le comporte des producteurs tout au long de l’affaire. L’incident a eu lieu entre le 4 et le 5 mai. Les producteurs auraient donc mis une semaine à annoncer l’arrêt de la production, alors que le tournage a été immédiatement suspendu. De plus, la production n’a jamais mentionné qu’il y avait cinq autres personnes présentes. Pour Me Jérémie Assous, arrêter le tournage au motif d’agression sexuelle dans un tel contexte, laisse suggérer un viol ou tout au moins une tentative de viol. Mais on en est très loin.